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Passionnant ce débat entre Wang, Jim,paddy et Patsue. On se croirait au Masque et la Plume. J’y ajouterais bien mon grain de sel mais je suis dans le bus. On verra plus tard.
Attention ami Jim. Tu t’égares. Le duel de Vera Cruz est certes l’un des plus beaux du cinéma hollywoodien sur le plan esthétique, et si le film lui-même est une belle histoire, plutôt mexicaine d’ailleurs, il n’est pas pour autant un véritable western. Il ne participe pas à la construction de la légende de l’Ouest en quête de la civilisation, c’est-à-dire l’éradication de l’anarchie et de la loi du plus fort (the outlaws), l’instauration de la loi et ses représentants (the law, le shérif, le juge), l’intégration à l’Union (l’est déjà civilisé), et accessoirement la spoliation, sinon l’élimination, des indiens. Un bon Western dans la tradition hollywoodienne vaut pour moi bien plus qu’un film actuel sur la conquête fantasmée de l’espace.
L homme aux cols d or. Henri fonda,Antony queen, Richard widmark. Belle dernière scène où Fonda jette ses deux cols d or alors que Widmark n à même pas touché aux siens.western moyen .Les cinéphiles disent la relation ambiguë entre Fonda et Quinn . Et tous les autres westerns cités par nos amis .
D’accord avec tous les autres commentaires. Mais, pour moi le plus beau des duels de western sur le plan purement esthétique – rapidité, efficacité, pas de philosophie préalable, décor parfait, acteurs subblimes, l’un doit mourir, c’est tout – est celui de Vera Cruz de Robert Aldrich dans lequel le froid et calculateur Gary Cooper tue le flamboyant et sympathique Burt Lancaster. Une scène mythique.
Oh là, beaucoup de films! Un western digne de ce nom doit se terminer par un vrai duel dans lequel le méchant doit nécessairement mourir. J’en citerai quelques uns: L’homme aux colts d’or (de Dmytryk, avec Henry Fonda); Il était une fois dans l’ouest (oserais-je ici? de Sergio Leone mais encore avec Henty Fonda); L’homme qui tua Liberty Valance (de John Ford avec Lee Mavin). Dans ce dernier western, le duel qui extermine Liberty Valance est truqué mais le film se termine sur cette phrase extraordinaire qui explique mieux que toute autre ce que représente la légende du Western dans la culture americaine: « When the legend becomes fact, print the legend ».
Il était une fois dans l’Ouest, avec ce lancinant et pénétrant harmonica, et les yeux bleu glacier de Charles Bronson.
Gunfight at the OK corral
1957-John Sturges
Burt Lancaster, Kirk Douglas, Dennis Hopper, Lee Van Cleef, Jo Van Fleet
Sur le même thème que “La poursuite infernale“ (My darling Clementine – John Ford – 1946 – Henry Fonda – Victor Mature), Sturges donne un tableau beaucoup plus coloré, mais pas moins ambigu de la fusillade la plus célèbre de l’Ouest, celle du 26 octobre 1881 à Tombstone. Burt Lancaster n’a pas la subtilité d’Henry Fonda, mais il donne une plus grande image de force. Kirk Douglas est très bon, mais peut-être moins complexe que Victor Mature, pour le personnage de Doc Holliday, le meilleur rôle de Mature.