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Dernière heure : La Mythologie devient obligatoire

Dernière heure : La Mythologie devient obligatoire !

Vers la fin de l’année 2016, j’avais publié ici une dizaine de cours de mythologie. Près de six années ayant passé, il est grand temps de procéder à une révision des notions élémentaires, bases sans lesquelles il est impossible de comprendre la plupart des œuvres artistiques occidentales.

Donc à partir de demain, tous les mardis matin, vous Continuer la lecture de Dernière heure : La Mythologie devient obligatoire

Les Atrides ? C’est pas compliqué.

Les Atrides, ça vous dit quelque chose ?
Vaguement ?
Oui, je sais, c’est compliqué, mais faites un effort, que Diable  !
Tantale qui fait bouffer son fils aux Dieux, ça vous parle ?
Et Agamemnon qui zigouille sa fille pour pouvoir faire de la voile ? Toujours pas ?
Et le même, occis dans sa baignoire par sa femme et son cousin ?  Ah ? J’ai cru voir une lueur !
Et Oreste, fils d’Agamemnon qui trucide sa mère et ledit cousin ? Vous l’aviez oublié, ça, n’est-ce pas ?

Bon, je vois. Normalement, la culture, c’est ce qui reste quand on a tout oublié. Eh bien, même pas !

Alors, voilà : j’ai retrouvé dans mes papiers ce document Continuer la lecture de Les Atrides ? C’est pas compliqué.

Cours de mythologie 1ère année-Leçon 10

Tout se tient

Où l’on verra que tout se tient : les Mosches, l’Amérique, les patronymes, l’or, le gros lot, la pensée unique, les noeuds, l’impérialisme, la musique, les chapeaux, la République, les roseaux, la dépression nerveuse. Tout se tient, je vous dis ! 

Midas était roi des Mosches, quelque part en Macédoine. Un jour, une bande de Mosches rencontra Silène, un ami débauché de Dionysos. Ils le firent prisonnier et l’amenèrent à leur roi. La spécialité de Silène, c’était de raconter des histoires, ce qu’il fit pour Midas. Il lui raconta celle d’un continent au-delà de l’Océan, séparé de l’Europe, de l’Afrique et de l’Asie, où les habitants sont grands et forts, où ils vivent longtemps et heureux et bénéficient de lois justes.

-Sans blague ? dit le roi des Mosches.

-Non, je rigole ! répondit Silène.

Midas se mit à rigoler lui aussi et pour remercier Silène, il le rendit à Dionysos, qui en retour proposa à Midas de réaliser deux de ses vœux.

– Que veux-tu que je fasse pour toi en premier ?

– Eh bien, mon dieu, je ne sais pas vraiment… Ah, si, tiens ! J’en ai assez d’être le roi des Mosches. Le voilà mon premier vœu : ne plus Continuer la lecture de Cours de mythologie 1ère année-Leçon 10

Cours de mythologie 1ère année-Leçon 9

La Création 
ou
Comment voulez-vous qu’on s’y retrouve ?

Remerciements :
L’auteur tient à remercier Wikipedia et Robert Graves (Les mythes grecs- (c) R.Graves 1958) qui ont grandement facilité les recherches indispensables à la rédaction de ce pensum. 

L’anarchie chronologique obstinément recommandée par le Ministère de l’Education Nationale présente quand même un avantage : celui de pouvoir raconter de fragments d’Histoire sans avoir à se préoccuper des connaissances acquises précédemment par les élèves. Il suffit de commencer son cours par « Il était une fois », comme on le ferait pour un conte de fées et le tour est joué. A-t-on jamais vu un enfant sortir son pouce de sa bouche pour demander quels étaient les antécédents de cette belle reine ou de ce pays merveilleux dont il va entendre l’histoire ? Eh bien, de la même manière que la masse assoupie d’une classe moyennement constituée, personne ne se réveillera pour demander comment Napoléon était parvenu au pouvoir.

Mais, parfois, dans l’esprit d’un élève particulièrement éveillé, ou d’un autre dont le smartphone est en panne, il arrive qu’il naisse une question. Quelle que soit la forme de cette question (« Mais, s’il vous plaît, maître, dites-nous donc d’où tout cela provient ? Que s’était-il donc passé avant ?  » ou bien : « OK, man, j’ calcule ! Mais d’où qu’y vient, l’mec ?« ), elle prouve l’intérêt de l’élève pour le sujet, récompense suprême du maître, et elle mérite qu’on lui apporte une réponse.

Donc, d’où qu’y viennent les mecs ? Et le monde, hein?  d’où qu’y vient, l’monde ?

Eh bien, voilà : Continuer la lecture de Cours de mythologie 1ère année-Leçon 9

Cours de mythologie 1ère année-Leçon 8

Salade grecque

Avertissement
Vous allez lire une horrible histoire. Elle est horrible mais vraie. Absolument garantie véridique. Elle a été rapportée par un historien réputé et digne de foi, Robert Rank Graves (1895-1985)
Pour une fois, les noms des personnages n’ont pas été modifiés. Ces gens-là s’appelaient vraiment comme ça, et c’est surtout ça qui rend l’histoire incroyable. Et pourtant, elle vraiment vraie. Voyez vous-mêmes :

Dans le quartier de la Phocide, c’est Térée le chef. Il est à la tête d’une bande de petits voyous colériques, sanguinaires et sans scrupules. Il est lui-même le plus coriace, colérique, sanguinaire et sans scrupules de toute sa bande. Il est parvenu à ce poste par la violence, la contrainte et la tromperie. Il est, pour le moment et ce, jusqu’à ce qu’un petit gars plus coriace, colérique, sanguinaire et sans scrupule que lui le détrône, le patron incontesté du jeu, de la drogue et de la prostitution dans son quartier. Il est jeune et vigoureux, mais célibataire. Et ça lui pèse.

De l’autre côté de la rivière, c’est le quartier de l’Attique, et là, c’est Pandion qui est le boss. Beaucoup plus âgé, Pandion est plus calme, plus posé que Térée. Il est aussi beaucoup plus marié et possède beaucoup plus d’enfants : Boutés et Erechthée, deux garçons jumeaux, Philomèle, une jeune fille de quinze ans, et Procné, sa sœur aînée. À part ça, Pandion fait à peu près le même boulot que Térée, mais en mieux.

L’année dernière, Pandion avait invité Térée Continuer la lecture de Cours de mythologie 1ère année-Leçon 8

Cours de mythologie 1ère année-Leçon 7

Orphée, la fin
ou
Je chante, je chante soir et matin,  / Je chante sur mon chemin…

– Ô Muses, raconterai-je ici comment Orphée tenta de ramener au jour sa défunte épouse, comment il parvint à séduire les riverains du Styx pour parvenir jusqu’à sa belle et comment il convainquit Hadès de la laisser partir ? Dirai-je l’hypocrite condition imposée par Hadès et l’impatience coupable d’Orphée qui tuèrent Eurydice une seconde fois ? Chanterai-je l’immensité du chagrin d’Orphée, errant parmi les plaines herbeuses et psalmodiant sa peine aux belles cavales qui les broutent ?

Bon, écoute, le Poète, là, tout de suite, on n’a pas le temps ! Et puis, on la connaît déjà par cœur ton histoire. Tu l’as même publiée ici même, il n’y a pas si longtemps. Alors, maintenant, ça va comme ça !

– Vous êtes sûres ?

Certaines !

– Bon, d’accord ! Mais est-ce que je vous ai raconté la suite ? Laissez-moi au moins vous raconter la suite ! Vous verrez, c’est très beau et pas très long. S’il vous plaît…

Si ça peut te faire plaisir ! Mais parle dans cette belle langue concise du pays des Lacédémoniens, la Laconie.

– Ouais…! Super ! Eh bien, voilà : Eurydice est définitivement défunte et Orphée momentanément triste. Il se console en trouvant une place de prêtre dans un temple d’Apollon en Macédoine. De sa voix sublime, accompagné de sa lyre merveilleuse, il chante les louanges du dieu des Arts qui lui fournit le gîte et le couvert. Dionysos, dieu de la vigne et de la folie, en est jaloux. Il ordonne aux Ménades, ces femmes déchaînées qui le suivent toujours en cortège, de le venger. Orphée et les maris des Ménades se rassemblent dans le temple d’Apollon pour y prier. Les furies y pénètrent. Elles tuent tous leurs maris et mettent Orphée en pièces. Elles jettent sa tête dans le fleuve. Mais la tête flotte et continue à chanter jusqu’à Lesbos. Recueillie par les Muses, on l’installe dans une caverne où elle chante des oracles sans discontinuer. Cela agace Apollon qui se met debout sur la tête d’Orphée et lui dit :  » Cesse donc de te mêler de mes affaires, il y a trop longtemps que je te supporte, toi et tes chants !  »
Vexée, la tête se tut.
Et moi aussi.

Ça va ? C’était suffisamment laconique ?

NDLR. Cette histoire, absolument véridique, est rapportée par Robert Graves dans son énorme ouvrage, « Les Mythes Grecs » ‘1125 pages, Le Livre de Poche)

R.Graves est également l’auteur d’un livre qui m’enchante chaque fois que je le lis : « Moi, Claude, empereur ». Un jour, il faudra que je vous en parle un peu plus.

Contrôle des connaissances :
– quel est, en Attique, le montant du salaire horaire d’une femme de Ménade ?

 

Cours de mythologie 1ère année-Leçon 6

Orphée entre en scène (*)

Il faut tout d’abord comprendre une chose, c’est qu’Orphée est une star, la plus grande star de son époque. Les nymphes, les satyres, les muses, les demi-dieux, et les dieux eux-mêmes, tout le monde fredonne ses compositions. Sa dernière tournée au Mont Olympe a fait un malheur pendant une éternité. Donc, Orphée est une star, et rien ne résiste aux stars. Ce qui ne les empêche pas d’avoir bien des malheurs.

Très contrarié par la mort  d’Eurydice, son égérie du moment, mordue par le serpent que, par plaisanterie, Hermès avait amené chez eux,  Orphée s’est enfermé dans sa chambre. Il a bu des amphores de nectar au point de tomber dans un coma olympique. A son réveil, il est tout d’abord demeuré d’un calme olympien, au point que c’en était inquiétant. Prostré, il répétait sans cesse: « j’ai perdu mon Eurydic-eu, rien n’égal-eu ma douleu-eur ». Bref, il en faisait tout un opéra. Puis il s’est mis à tout casser dans sa villa, depuis l’arc de bois de rose dont Cupidon lui avait fait cadeau jusqu’à la très jolie maquette de l’Argo, gage de reconnaissance de son ancien capitaine, le commandant Jason. Enfin, il a promis, juré, craché qu’il ne chanterait plus ni ne jouerait de sa lyre à  neuf cordes tant qu’Eurydice ne lui aurait pas été rendue. Sur ce, il a pris trois cachets de Morphée et Continuer la lecture de Cours de mythologie 1ère année-Leçon 6

Cours de mythologie 1ère année-Leçon 5

Le pourquoi du comment

La terre était créée, les vallées, les montagnes,
Les océans, les fleuves, les arbres, la campagne.
Mais tout ça était vide et les saisons passaient
Sans qu’il n’arrive rien, jamais, jamais, jamais.

L’éternité semblait ne pas vouloir finir.
Et les dieux immortels s’ennuyaient à mourir.
Quand on est éternel, c’est manière de causer :
Mourir, c’est impossible, tout le monde le sait.

Si on créait un truc, un truc sensationnel ?
Dit soudain Dionysos, fabriquons du mortel !
Du mortel, mais quoi t’est-ce ? dit Zeus intéressé.
Ben, des poissons, des hommes, des microbes, est-ce que j’sais?
Des trucs qui naissent, qui vivent, des piafs, des escargots,
Et puis un jour qui meurent ! C’est ça qu’est rigolo !

Ça pourrait être drôle, dit Zeus en aparté.
Que l’on fasse un essai ! Qu’on m’envoie Prométhée !
Sur l’Olympe aussitôt, le Titan arriva.
Il vit Dionysos, consulta Athéna,
Nota quelques idées, et chez lui repartit.
Sur sa planche à destin, il fit quelques croquis.

Avec un peu de terre et avec un peu d’eau
Il créa tout d’abord une douzaine de bestiaux
En un seul exemplaire, car de boue il manquait.
Pour les multiplier, par la suite, il verrait.
Content de son ouvrage, c’était vraiment pas mal,
Prométhée acheva tout le règne animal.

Quand il voulut faire l’homme, ce fut plus difficile,
Mais en mêlant dauphin, rat, mulet et gorille,
Il parvint à un truc assez satisfaisant
Qu’il n’alla quand même pas jusqu’à nommer Adam.

Avant de les lancer dans la grande aventure,
Il fallait maintenant pourvoir ces créatures
D’armes et de protections et de dons très divers
Afin qu’elles ne meurent pas dès le premier hiver.

Prométhée, à ce stade, déjà très fatigué,
A son aide appela son frère Epiméthée.
Un crétin, celui-là, gentil, mais vraiment bête.
Distribuer les dons lui monta à la tête.
Plein de bonne volonté, il prit à cœur sa tâche.
Et dans le stock de dons, il puisait sans relâche.

A l’oiseau il donnait les ailes pour voler
Au lièvre, la vitesse pour pouvoir s’échapper
A l’ours, la fourrure pour vivre dans le froid
Au lion, le courage pour être vraiment roi
La tortue à son tour reçut la carapace
Pour se barricader contre tous les rapaces.

Chacun des animaux reçut un don, le sien.
Et quand tous furent dotés, il ne restait plus rien.
Le stupide Titan alla voir Prométhée
Et lui dit : « Hé, regarde un peu ce que j’ai fait.
Y a plus rien dans les stocks, J’ai casé tous les dons.
Tu ne pourras plus dire que je suis un vrai con. »

Son frère regarda et lui dit : « Pauvre conne !
Les bêtes sont pourvues, mais les hommes, hein, les hommes ?
Les hommes sont tout nus, ils sont faibles et débiles,
Ils ne peuvent courir ni voler, imbécile !
Ils vont se faire bouffer avant demain matin,
C’est sûr, Épiméthée, espèce de crétin ! »

Furieux, Prométhée se mit à réfléchir.
Il faut faire quelque chose pour éviter le pire
A cette créature à demi terminée.
Longtemps, il se gratta et la barbe et le nez
Au bout de quelques heures, finalement, il trouva.
Il alla tout d’abord visiter Athena.

En douce, il copia les dossiers interdits
Ceux des arts, de la guerre et des sciences aussi.
Ensuite, il alla voir le vieil Héphaistos,
Le divin forgeron. Il lui toucha la bosse
Et lui vola le feu. Aux hommes, il le remit
Avec une copie des dossiers interdits.

Avec ça, se dit-il, des animaux sauvages ,
Ils seront à l’abri et vivront un grand âge.
L’intelligent Titan se sentit rassuré,
Et les hommes et les bêtes, il put multiplier.
Les dieux étaient contents. Il se passait des choses
Qu’ils regardaient d’en haut, depuis leur lit de roses.

Mais, en dessous, les hommes apprenaient, inventaient.
Ils cherchaient, ils trouvaient et puis ils construisaient
Des machines, des palais, tout ça  à qui mieux mieux
Si bien qu’ils finirent par se prendre pour des dieux.
Quand Zeus s’en rendit compte, il en fut offusqué
Et décida d’abord de punir Prométhée.

Si vous ne savez pas comment, lisez le donc
Dans « Un cadeau du ciel », votre première leçon
Pour ce qui est des hommes, Zeus les punit aussi
Et ça, c’est une histoire que j’ai contée ici.
C’était mon deuxième cours, sans doute le plus beau
Celui sur Pandora : « La fin des haricots »

Et voilà, c’est fini. Vous savez maintenant
De notre condition le pourquoi du comment.

Exercices :
1-réécrire ce texte en octosyllabes
2-la même chose, mais de la main gauche
3-Epiméthée était-il vraiment con ? Développez.
4-Quel don avait-il donné à la rascasse ? Pourquoi ?
5-A partir de quelle invention les hommes commencèrent-ils à se prendre pour des dieux ?
A) la brouette
B) le Rubik’s cube 
C) l’épépineur automatique de groseilles

Cours de mythologie 1ère année-Leçon 4

Œdipe, c’est complexe

Laios est roi de Thèbes
Et Jocaste met au monde son enfant
Mais la Pythie dit
« Il tuera son père et épousera sa mère »
Alors le roi  ordonne qu’on emmène l’enfant dans la montagne et qu’on le tue

Mais en fait il est remis à Polybe et Mérope
Qui sont roi et reine de Corinthe
Ils adoptent l’enfant et le prénomment Œdipe
Œdipe grandit en se croyant le fils naturel de Polybe et Mérope
Alors que pas du tout

Pourtant il a des doutes et il se rend à Delphes
Pour voir la Pythie aussi
Elle consulte ses archives et y retrouve Continuer la lecture de Cours de mythologie 1ère année-Leçon 4

Cours de mythologie 1ère année-Leçon 3

Sortie de boîte

La première femme fut créée par tous les dieux de l’Olympe réunis en congrès.  C’est pourquoi on lui donna le nom de Pandora. Ils l’envoyèrent sur terre pour punir les hommes pour leur manque de mesure.

Pandora était absolument splendide et extrêmement séduisante, mais elle avait un caractère impossible, du genre femme fatale. Elle fut d’ailleurs fatale à l’Age d’Or quand les hommes durent se mettre à travailler pour satisfaire ses exigences infinies.

Mais c’est pas tout.

Elle se rendit chez Epiméthée, le frère idiot de Prométhée, qui se laissa séduire. Il l’épousa. Le jour des noces, Zeus lui envoya comme cadeau une jolie petite boite avec interdiction absolue de l’ouvrir.

Mais Pandora, dont la curiosité n’était pas le moindre défaut, souleva le couvercle de la boite malgré l’interdiction divine. Aussitôt, les maux du monde,  la Vieillesse, la Maladie, la Guerre, le Travail, la Famine, la Misère, la Folie, le Vice, la Tromperie, la Passion, l’Orgueil et toute cette sorte de choses s’échappèrent de la boite et se précipitèrent sur l’humanité.

Certains disent que Pandora laissa retomber le couvercle de la boite avant que tous les maux n’aient pu en sortir et qu’un seul resta enfermé : l’Espoir.

On reste perplexe devant cette précision et on peut se demander comment interpréter la présence de l’Espoir dans la boite de Pandora et le fait qu’il y reste enfermé.

Cela signifie-t-il que l’Espoir est un mal ?

Et si l’Espoir est un mal, pourquoi n’est-il pas sorti de la boite avec les autres ?

Et si l’Espoir est un bien, que faisait-il donc dans la boite ?

Si l’Espoir est un mal, le fait qu’il reste enfermé dans la boite n’était-il pas un bien pour les hommes ?

Et si l’Espoir est un bien, le fait qu’il reste enfermé dans la boite n’était-il pas un mal pour l’homme ?

Franchement, ces histoires de mythologie, moi, ça me prend la tête.

Contrôle des acquis :
Répondez aux questions suivantes en argumentant :
1- Finalement, l’espoir, c’est un bien ou un mal ?
2- Et vous, vous avez eu quoi comme cadeau de mariage ?
3- Pensez-vous que Laurent Baffie était aussi dans la boite ?
4- Et Noël Mamère ?

 

Pour la leçon 2, c’est ici