Nostalgie 17 – Dinky Toys

Dinky toys
Cette marque était spécialisée dans la production de maquettes d’automobiles au 1/42 ème, fabriquée d’abord en plomb puis en zamac (alliage Zn/Al/Mg ; il n’est jamais trop tard pour apprendre quelque chose)
J’en avais une raisonnable collection, d’une cinquantaine d’exemplaires. J’étais très exigeant sur la marque Dinky Toys, ne supportant pas les Solido, les JRD et encore moins les Norev. J’en avais de toutes sortes, des voitures, des camionnettes, des camions spécialisés. Après le passage de mes enfants, et surtout celui de cambrioleurs, il ne me reste que six modèles, dont un inestimable camion des British Railways pour le transport des chevaux.
La marque a disparu en 1970.
La photographie représente un semi-remorque aux couleurs de Kodak. Le tracteur est de marque Panhard.

Kodak
L’ex-géant de la photographie, créé en 1881 par George Eastman, a déposé son bilan en janvier 2012.

Panhard
Etabli en 1891, ce construteur automobile a été racheté par Citroën en 1965. La marque Panhard a disparu en 1967.

Dinky… Kodak…Panhard…
On a des raisons d’être nostalgique, non ?

ET DEMAIN, LE VENT SANS LES VOILES, UNE COMEDIE INACHEVEE

4 réflexions sur « Nostalgie 17 – Dinky Toys »

  1. Hey François Wang, admettons que 1917 t’inspire un sentiment de nostalgie mais ça ne te rajeunit pas beaucoup, hein? Panhard existait bien en 1917 mais ne fabriquait pas des tanks et je ne suis pas sûr que les travailleurs chinois appelés en France pour soutenir l’effort de guerre y aient été affectés. Peut-être chez Renault qui a bien fabriqué des chars en 1917. Comme tu le sais bien, dans les années 1920 d’autres travailleurs chinois viendront en France, travaillant dans des usines d’automobiles entre autres, et y puiseront leur inspiration syndicale et même communiste, dont certains deviendrons plus tard de grands responsables politiques en Chine avec Mao. Je pense à Zhou Enlai et surtout Deng Xiaoping, pour moi le père de la Chine moderne que nous connaissons. Je pense cher François que ce sont ces hommes là à l’origine de ta nostalgie. Comme je la comprend.

  2. J’ai toujours, sur une étagère de la bibliothèque de mon bureau, très en vue de mon poste de travail, la Simca 8 Sport – noir intérieur rouge – identique à celle que mon père a eu de 1955 à 1963 et qu’il m’a souvent confié dès que j’obtins mon permis de conduire (1er et seul examen que je réussis du 1er coup, dès mes 18 ans).

    C’est la même que celle que l’on peut entrevoir dans ‘À bout de souffle de Godard’ et dont Belmondo vante la mécanique juste avant de se faire descendre. Il y en a une rouge conduite par Depardieu dans ‘La Potiche,’ jouée par notre Belle de Jour nationale!

    Tu m’as fait cadeau de ta Dinky Toys pour remplacer le modèle que j’avais perdu et que je netrouvais plus sur le marché, sachant que cela évoquerait beaucoup de bons souvenirs… souvenirs… chez moi!

    Évoquer ce don très significatif me permet de t’en remercier à nouveau.

    Simca de Poissy (comme Saint-Louis) a aussi déposé son bilan, devançant, de quelques décennies, Peugeot PSA!

  3. Nostalgie ! Une partie des travailleurs chinois arrivés en France en 1917 à travaille chez Panhard. À cette époque Panhard construisait des tanks.

  4. Que reste-t-il de nos amours
    Que reste-t-il de ces beaux jours
    Une photo, vieille photo
    De ma jeunesse
    ….
    Que reste-t-il de tout cela
    Dites-le-moi.

    Chanson de Charles Trenet. Trenet, une autre raison d’être nostalgique.

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