2017, c’est demain

Aujourd’hui, vous n’aurez pas le temps de lire grand-chose. Alors, je ne vais pas gâcher un bon texte que je pourrai placer un jour où votre oreille sera plus attentive.

Moi-même, ce matin, j’ai des tas de trucs à préparer. C’est pourquoi je vous dis vite fait et sans complication ni recherche que

JE VOUS SOUHAITE DE PASSER UNE BONNE ANNEE 2017

Avec tout ce qui se prépare, ça risque d’être intéressant.

Alors, à demain avec le 3ème chapitre de mon « Incident de frontière ».

10 réflexions sur « 2017, c’est demain »

  1. Merci pour ton encouragement et tes judicieux conseils.
    Je n’en suis, évidemment, qu’aux balbutiements et éprouve, sans ménagements, les difficultés auxquelles tu fais allusion.

    Mon blog n’est évidemment pas encore présentable en l’état…

    Ayant déjà un grand bagage de conneries accumulées sur (et autour de) mon réseau de prof. tes avertissements tombent dans une oreille passablement avertie… Comme un homme averti en vaut deux, c’est deux fois plus énervant et humiliant!

    Mais, je le répète, la voie est tracée, ton blog me sert d’exemple.

    Il me faut remplacer quelques catégories distinguant les genres littéraires par des distinctions entre: textes ou chapitres, avertissement (caveat), réflexions préliminaires ou prémisses, définitions de concepts clefs, etc.

    Dès que j’aurais accompli quelque chose de présentable, bien qu’encore très loin du rythme de croisière que tu connais depuis quelques années, je te communiquerais les données d’accès.

    Encore une fois, merci pour le généreux accueil de mes commentaires.

    Sans qu’il n’y paraisse, nos débats m’ont ouvert les yeux sur l’incidence décisive – sur l’histoire constituante de mon personnage – d’événements survenus au cours du quart de siècle que j’ai passé dans le pays de mon enfance.

    Si les problèmes d’adaptation à ce média persistent, je ne manquerais pas de recourir – via ta ligne privée – aux services du meilleur ami de ma génération qui, bien que retraité, a retrouvé toute sa jeunesse en pêchant à la ligne et au filet! (on line & on the Net)

  2. Bon, hé bien ça y est, tu as franchi le pas et décidé de créer un blog pour toi tout seul, enfin, j’espère pas pour toi tout seul, mais pour le plus grand nombre possible de lecteurs. Je ne manquerai pas de venir le visiter dès que tu en auras communiqué l’adresse. Tu pourras d’ailleurs bien entendu la faire connaitre sur ce blog et permettre ainsi aux lecteurs du JdC de venir goûter à ton Magnum 45 Opus.
    Je te souhaite bon courage, car la mise au point de la technique entraine en général jurons, sueurs froides et promesses de ne pas y revenir. Mais, un conseil : ne pas abandonner. On trouve souvent sur le net un tutoriel bien fichu où des âmes charitables aux voix généralement très jeunes expliquent gentiment comment procéder à des vieillards non-comprenants et désespérés.
    Pour ce qui est du contenu, je n’ai pas de conseil a te donner, il sera abondant, j’en suis certain.
    Bon courage !

  3. 2017 (qui s’annonçait mal) n’a que quelques heures (six heures d’avance – irrattrapables – de Paris sur Montréal – ce qui est crucial puisque le matérialisme de M. Onfray veut que l’esprit soit localisé sur le corps) et déjà, je suis en mesure de vous faire une excellente surprise!

    Suivant les conseils judicieux et répétés de Philippe, j’ai finalement mon blog et depuis ce matin, je m’y consacre exclusivement!

    Pour sa structure, il s’inspire de celui du Journal des Coutheillas, Merci Philippe!

    Évidemment, le style sera très différent mais y jouera un rôle aussi important! Il devra refléter le passage du centre de perspective (ce ‘lieu d’où l’on parle!’) du ‘communiquant’ au ‘communiqué’ (on peut l’écrire en deux mots!) ou du locuteur à l’interloqué! Ou encore, pour enfin valoriser le lecteur ou le curieux: de l’exhibitionniste au lecteur/acteur/décideur en quête de ‘renseignements’. Ou pour conclure dans l’actualité récente: d’Hilary en campagne à Poutine, avec ses grandes antennes, dans sa campagne!

    Comme vous vous en doutez, je ferai plus dans l’essai spéculatif que dans le roman descriptif.

    Je sais, – c’est un peu mon métier -, que l’usage auquel je vais atteler ce média (Internet) avec sa grammaire de décryptage – que Philippe connait fort bien – n’est pas le plus adéquat!

    Je compte m’en servir comme support d’une éventuelle présentation de mon produit communicationnel (mon œuvre quoi) à un public très restreint que je veux avant tout témoin et pas nécessairement lecteur ou commentateur (bien que j’en serais ravi).

    Savoir que mon travail quotidien (inspiré de l’assiduité légendaire de Philippe) soit éventuellement accessible au regard critique d’autrui, me forcera, (comme le fait d’avoir eu à présenter trois cours nouveaux par semaines pendant toute ma vie ‘active’) à avancer quotidiennement dans la rédaction de l’ouvrage que je me propose d’y écrire en trois versions: 1) spontanée, 2) documentée comme un essai digne de ce nom et 3) académiquement soutenable (comme une grande thèse de doc.).

    Avant de me plonger dans la rédaction du premier jet, je l’imagine comme un ‘magnum opus!’ Je ne vois pas, aujourd’hui, comment il ne pourrait pas avoir quelques milliers de pages? Il vise à exposer une conception de la communication qui permettrait d’appréhender les grandes problématiques de l’humanité sous un jour nouveau.

    Ce regard différent, cette nouvelle histoire du fonctionnement de la communication humaine devrait nous (c.a.d. mes mécontemporains et moi, indigné) permettre d’aborder, sous un angle étranger (barbare), les relations que nous entretenons avec nous-mêmes, les autres, voire l’ensemble du genre humain!

    Je ne vous en dirai pas plus… c’est déjà très long pour une participation au blog de Philippe qui a eu la gentillesse, la générosité et la patience d’y tolérer mes élucubrations.

    La surprise agréable, ici, n’est pas que je me sois enfin façonné ce blog (tout le monde s’en fout!) mais que je me retire du Journal des Coutheillas (que je continuerai à lire mais bouche cousue, à partir de maintenant).

    ‘Le pov’con des la banlieue de Montréal se casse, enfin!’

    Il y avait, sans doute, un peu de cela dans les suggestions répétées de Philippe. Je le comprend et ne lui en veux nullement, j’ai été très chiant!

    Au contraire, je le remercie d’avoir eu la patience de tolérer mes galops d’essais qui prenaient trop souvent la forme et le style de trop longs discours barbares!

    Par contre, je suis persuadé, – ce qui m’encourage énormément – qu’il est sincère et ne me veut que du bien en réitérant son conseil de me lancer dans une affaire semblable à la sienne (au niveau du média)!

    Donc le futur lecteur muet ou ‘communiqué’ tire sa révérence en tenant par la main 2016 (anus malus) pour y laisser, pendant tout 2017, la totalité de l’espace de rédaction à ses communiquants légitimes!

    Merci à tous et surtout à toi, Philippe!

    Sur bien des aspects, le style en particulier, tu restes mon ‘leader’ même si je ne marche pas dans tes pas!

  4. Très bonne année Philippe,
    Et tous mes vœux pour ceux qui contribuent jour après jour au JDC, et pour les lecteurs fidèles.
    Que vous soyez optimistes ou pessimistes pour l’année 2017, vous savez que vous aurez au moins le plaisir quotidien de la découverte matinale du JDC.
    Eloi

  5. Hé! Ho! Isabelle! Ho!

    À mon âge, je suis très conscient qu’il ne me reste que quelques années à vivre intensément sur cette planète. À mon âge, les années passent très vite et elles raccourcissent à vue de nez! Je ne voudrais pas en manquer une, même si elle s’annonce mal!

    L’avantage, quand les prévisions sont très très sombres, on ne peut rencontrer que de bonnes surprises et, surtout, les déceptions sont, d’avance, éradiquées!

    Je souhaite donc à celles et ceux qui contribuent – par leur écriture comme par leur lecture – au J. des C., une très mauvaises année 2017!

    2017 est le centième anniversaire de la Révolution d’Octobre…

    Comme quoi, pour beaucoup, dont le Dr. Jivago, il y a déjà eu pire!

    Et, pour les autres, prolétaires de tous les pays, qui ont cru au matin du Grand Soir, nous venons de traverser 100 ans de déceptions!

    Trump, incarnation dénudée du capitalisme global en quête de résurrection des nations (qui le protègent de la coalition des prolétaires du monde entier pour l’équité planétaire)… en sera-t-il le chant du cygne de croix?

    Redoutant la déception, je ne saurais évoquer cet espoir…

    Ce qui est fait; selon la forme de rhétorique que Philippe aime bien dénoncer!

  6. On pourrait passer directement à 2018? Dans la négative, bonne année 2017 à tous les lecteurs

  7. Yes !! . Happy new year to all thé members of the Blog Coutheillas.

  8. Bonne et Heureuse Année 2017 au JDC ainsi qu’à tous ses Blogués et Bloguées.

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