4 réflexions sur « L’abruti »

  1. Il ne faut quand même pas oublier qu’avant l’arrivée des chauves-souris dans le clocher des mosquées catholiques ou le beffroi des Chtis, il y avait des cloches!

  2. Une description inattendue de l’esprit vide.
    C’est connu, les araignées et les chauve-souris s’installent volontiers dans les maisons vidées.
    (L’expression française « avoir des araignées au plafond » devient « avoir des chauve-souris dans le clocher », soit « to have bats in the belfry », en anglais)

  3. Les cases laissées vides par l’exode rural – qui n’est pas qu’Africain – peuvent être une belle métaphore du village cérébral constitué par les neurones désactivés de l’abruti.
    Toutefois, il faut aussi se demander quelles conséquences l’entassement des hommes que Rousseau compare à celui des pommes (et dont on sait qu’il produit la pourriture) a eu sur le prétendu ‘génie’ des Mégapoles?

    Rats des villes empestées, abrutis de la post-modernité, ne regrettez-vous pas vos origines campagnardes?

  4. cela me rappelle une remarque de PL S (fort jeune)à propos d’un de nos amis,il y a longtemps:
    « cet homme est un gratte-ciel dont le dernier ètage est le plus mal meublé »

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