Rendez-vous à cinq heures au Temple du Soleil

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L’ÉTRANGE AFFAIRE DU TEMPLE DU SOLEIL
par Jim,  envoyé spécial à Moulinsart

Cette affaire du Temple du Soleil, détruit par un tremblement de terre, puis ses ruines livrées à un pillage infâme, maintenant l’objet d’un projet de reconstruction sous l’égide d’une association aux intentions plus ou moins louches qui se domicilie au Château de Moulinsart, cette affaire, donc, mérite que nous nous intéressions à ses dessous et à leur propreté. Tout d’abord, existe-t-il un lien entre Moulinsart d’une part, ses acolytes Tintin, Hadock, Tournesol, le JDC d’autre part, et ce temple du soleil d’origine inca ? A l’évidence il y en a un, nous verrons plus loin lequel. Mais avant cela, que pouvait bien faire un temple inca à proximité de Champ-de-Faye, un paisible hameau de l’Aisne ? Cette improbabilité iconoclaste a été levée par le célèbre écrivain investigateur Laurent Binet (HHhH ; La septième fonction du langage) dans son dernier livre Civilisations. Binet nous apporte une explication uchronique mais irréfutable : l’inca Atahualpa, en guerre avec son frère, trop à l’étroit sur un territoire trop petit pour y avoir deux chefs, fatigué de porter sa misère hautaine, il décida avec quelques fidèles, ivres d’un rêve héroïque et brutal, de partir comme un vol de gerfauts hors du charnier natal sur l’océan vers l’est à la conquête d’un nouveau royaume. C’est ainsi qu’ils débarquèrent à Lisbonne en 1531, ville qui venait de subir un tremblement de terre dévastateur. Atahualpa ne se découragea pas et servi par son intelligence politique et militaire il conquit rapidement une vaste partie de l’Europe jusqu’aux terres de l’Aisne aux confins de la civilisation, où, satisfait de ses conquêtes, de son pouvoir et de cette région accueillante, il fit construire un Temple du Soleil à l’image de sa gloire. Le motif central de la porte du Soleil représentait le dieu Viracocha, volé depuis longtemps par un dénommé A. Malrot mais dont il existe une photographie en noir et blanc reproduite ci-dessous. Or, il se trouve que les éditions de Moulinsart qui publient les aventures de Tintin et consorts ont repris ce motif qu’on trouve en première et dernière pages de l’album justement intitulé Le Temple du Soleil reproduit ci-dessous en couleur.

Et maintenant voilà le pompon ! L’effigie associée à côté de Philippe pour chacun de ses commentaires est ci-dessous à côté des deux illustrations du dieu Viracocha. Le voilà le lien entre le Temple du Soleil Inca, Moulinsart et le JDC. IRRÉFUTABLE, non ? Mais l’affaire ne s’arrêtera pas là. Nous avons des preuves que la région de Champ-de-Faye abrite toujours des descendants des incas venus avec Atahualpa. Ils manifestent épisodiquement leur existence dont en voici une ci-dessous photographiée il y a peu.

En atendant de nouvelles révélations, les lecteurs du JDC se feront leur opinion.

Jim

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Demain, 07:47 Collage 349
Demain, 16:47 Rendez-vous à cinq heures : Salut, copain !
26 Mai, 07:47 Le Cujas (66)
27 Mai, 07:47 Jeudi 22 avril, à Paris

9 réflexions sur « Rendez-vous à cinq heures au Temple du Soleil »

  1. Super intéressant ,,! beau sujet de promenade a la découverte des trésors en Champs de Faye ….

  2. Je rectifie:
    « Oui, le CO2, c’est comme les Rafales et le séisme. les pets et les rots des vaches. »

  3. Quoi le CO-2? Pourquoi pas les pets et les rots des vaches qui contribuent tout autant au réchauffement climatique. Eux en plus sont explosifs car bourrés de méthane! Je ne voie aucune allégorie s’agissant du CO-2 pour expliquer la destruction d’un édifice et si le Temple du Soleil ne se trouve pas dans une zone sismique, je précise que l’expression « tremblement de terre » était très probablement employée dans un sens métaphorique, un tremblement de terre tel que l’a connu Carcassonne par exemple pour expliquer une destruction, un pillage et une résurrection possible. Concentrons-nous plutôt sur la capacité d’une résurgence inca dans l’Aisne et ses conséquences pas seulement archéologiques. Scrogneugneu!

  4. Oui, le CO2, c’est comme les Rafales et le séisme.
    Il ne faut pas l’oublier dans la liste des infox.
    Oui, c’est le gaz de la vie. La preuve, ce sont les serres qui en utilisent fréquemment. Il est en bonbonnes.
    Quand au CO2, GES déterminant qui réchauffe le climat, c’est à rigoler ou à pleurer.
    Nous sommes donc d’accord, suivant ce qu’on oublie ou n’oublie pas.

  5. Bien sûr que si, qu’il faut l’oublier, le CO2 !
    Le CO 2 est un produit naturel, pas vrai ? Alors, comment un produit naturel pourrait- il faire du mal à la Nature ?
    Par contre, nous devrions prêter davantage d’attention à la salsepareille.
    Passée de mode, oubliée, ignorée et même niée aujourd’hui, la salsepareille est encore secrètement et constamment à l’ouvrage pour saper subrepticement mais inéluctablement les fondations de notre civilisation, pareille à la vague obstinée qui lèche d’abord et creuse ensuite la falaise de nos certitudes patrimoniales jusqu’à l’effondrement des principes inébranlables sur lesquels nous sommes assis, inconfortablement, certes, mais traditionnellement depuis l’invention de la chaise curule et du vistemboire à soufflet.
    La salsepareille ! Jamais, n’oublions jamais la salsepareille !

  6. Ne pas oublier le CO2, fort à la mode en ce moment, soutenu par des milliers de climatologues et petaoctets de calculs, avec l’aval du GIEC.
    Cela expliquerait le refroidissement climatique que l’on ressent en France depuis le début d’années.

  7. Secousses sismiques, franchissements du mur du son par les Rafales, vibrations sub-soniques des éoliennes voisines, démontage par les extra-terrestres, entreprise de démoralisation signée Bill Gates, centre de cérémonies sataniques pour Illuminati, anomalie spatio-temporelle, complot anti-paysans, conspiration anti-complotistes, photo-montage, illusion d’optique, tout est possible, car on nous cache tout, on nous dit rien et plus on apprend et plus on ne sait rien.

  8. Jim si je fait mes recherches rien ne concorde malgré la grande cohérence de tes propos quelque chose ne tiens pas la route. Sans doute des travaux de référence caviardé par certains historiens pour des raisons de religion ont sans doute échapper à ma distraite attention constamment sollicité. Mais ne faite aucune attention de mes propos si d’aventure vous avez des preuves de la consistance de cet inédite nouvelle.

  9. Magnifique digression sur des bottes de paille. mais y parle peu de sismicité.
    C’est vrai que la carte de la sismicité en France protège la zone.
    Alors ce ne fut pas un séisme qui démolit l’audacieuse construction mais les vibrations provoquées par les bangs répétés des Rafales de la base voisine.

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