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Je pense toujours à la cousine de Sophie qui est comtesse je crois !!!!!!!!!
Très sympa votre texte, on s’y croirait !
Pour un simple commentaire, je trouve que c’est déjà un joli texte.
Très sympathique petite histoire. Il suffirait de très peu de choses pourla transformer en un joli texte.
Élémentaires les particules bien sûr! A propos, je ferai prochainement un commentaire concernant « la gueule de Houellebeck », venant tout juste de terminer la lecture de Soumission.
Elle est bien bonne!
Cela me rappelle l’année où j’ai débuté, au Collège et Lycée Privé Saint Thomas de Rennes, jn établissement plus que huppé, une « boîte à Bac » pour gamins riches.
J’avais en seconde , dans la même classe, quatre gamins à prénoms composés et particules.
Je leur ai demandé comment ils voulaient se faire appeler.
Le premier répondit, de ce rythme traînant aux inflexions que prennent souvent ceux qui sont conscients que leur niveau social est supérieur au vôtre « Charles-Edouârd, mademoiselle, cela suffira »
Le deuxième, doucement « Jean-Denis. C’est mon nom , et je l’aime »
Le troisième, dont la seconde moitié du prénom, d’après la liste d’appel, était Henri, prononça avec superbe et emphase « Charles-H. , mademoiselle. Ca fait intellectuel. »
Et le dernier, enfin , Alexandre-maximilien de Machin de Truc- Chose (dont je tais le nom par discrétion), se lamenta d’une voix douloureuse… » Un surnom, mademoiselle, pitié, donnez-moi un surnom. Je n’en ai jamais eu. Et, euh, je peux mettre seulement mon premier nom de famille sur mes copies, sinon ça prend toute une ligne? »
A cet instant, je m’imaginai faisant des gouzi-gouzi au-dessus d’un berceau. Comment être tendre et câlin avec un enfant qui a un prénom pareil? « Oh qu’il est mignon, Alexandre-Maximilien. Fais un sourire à maman, Alexandre-Maximilien, mon chéri! »
Toute l’année, il fut pour moi Alex-Max Machin.