RENDEZ-VOUS À CINQ HEURES (40)

RENDEZ-VOUS À CINQ HEURES (40)

9/07/2020

Le jeu de l’Incipit

Bon !
Finalement, il n’y aura eu que trois textes pour participer à ce jeu.
James Joyce aurait-il fait peur ?

A présent vous les avez lus tous trois.

Il y a eu :

1-Ce soir, à Samarcande,
un conte fataliste d’inéluctable rendez-vous avec la mort.

2-L’affaire Blaireau,
une histoire d’Irlandais susceptible, mais n’est-ce pas un pléonasme ?

3-Au service du Prince,
un abus de faiblesse comme on voudrait en voir plus souvent.

Vous pouvez les relire en cliquant sur leur titre ci-dessus.

A vous de répartir ces textes entre les trois auteurs suivants :

Bételgeuse

Jim

Philippe

A cette heure, les votes sont les suivants :

Pour Edgard :
Philippe a écrit Samarcande
Jim a écrit le Blaireau
Pour Rebecca :
Jim a écrit le Blaireau
Pour Lariégeoise :
Philippe a écrit Samarcande
Jim a écrit le Blaireau
Bételgeuse a écrit le Prince

On attendra jusqu’à demain midi pour enregistrer les éventuels nouveaux votes ou modifications des votes déjà exprimés.

Bientôt publié
Demain, 07:47 Ô temps ! suspends ton vol
12 Juil, 07:47 Le Cujas (11)
13 Juil, 07:47 Ecole Massillon – 1953
14 Juil, 07:47 Le Cujas (12)
15 Juil, 07:47 Balzac par Gautier

3 réflexions sur « RENDEZ-VOUS À CINQ HEURES (40) »

  1. Moi, je déteste Joyce.
    Mon excuse lamentable est que cet incipit m’a réfrigéré.
    Glacé, le Lorenzo, jusqu’à l’index …
    J’espère que Lariégeoise ne m’en voudra pas trop.
    PS) si le prochain incipit était de Modiano, de Blondin ou d’Hemingway, et à la rigueur de Cadou, j’essaierais de me rattraper.
    Bises à vous et à vos remarquables textes. Bravo …, mais ils n’encouragent guère les autres minables à tenter leur chance !

  2. Je vote:
    Betelgeuse: Au service du prince.
    Jim: L’affaire Blaireau.
    Philippe: Ce soir, à Samarcande.
    Les trois textes sont à mon avis très bons, écrits chacun avec leur style, mais Le fait intéressant est qu’à partir du même incipit, chacun révèle dès le départ l’imagination propre de son auteur et une histoire originale sans commune mesure avec les deux autres.
    À propos du mien, j’ai emprunté son titre tel quel à Alphonse Allais (dont j’aurais bien aimé avoir le style, hélas!) et j’y fait une allusion dans son excipit ( je dis bien excipit).

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