RENDEZ-VOUS À CINQ HEURES (16)

RENDEZ-VOUS À CINQ HEURES (16)

30/05/20

Une traversée de la France

Denis, déjà ariège grand père et le pyrénées de la famille, vendée des vaucluse dans les aveyrons de chez lui pour remplir son bas de l’Aisne. « Faut que charente ! ».

De la même manière qu’Eve, Yvelines sortit de sa côte d’armor. Lui, c’était un guadeloupe toujours en mayotte de bain qui aimait les apéritifs, surtout le Martinique. Au début, ma demoselle Yvelines pensait : « qu’il est vilaine mon mécène mari time ! » Mais Denis lui jura fidélité, essone les cloches ! Ils firent un beaume ariège et eurent beaucoup d’enfants. Comme elle l’aimait beaucoup et qu’Il dormait même en réunion, elle disait « Il dordogne comme un ange, mais que mon loir est cher! », trop contente, la fameuse Yvelines, d’avoir trouvé un gard qui n’était pas dans l’ardèche. Il avait d’ailleurs été  surnommé le mécène Saint Denis.

Somme toute, Denis n’était pas fou allier et ne pesait pas encore un cantal quand il partit sur les routes avec Yvelines déjà gironde mais pas nièvre. Elle n’avait paris depuis longtemps. Orne, Denis était très drôme et pas à var de toutes sarthe de plaisanteries très au dessus de la mayenne. Quand il la caressait du haut au bas rhin, il était doubs mais très ardennes et ne s’y prenait pas comme un manche.

De savoie de ténor en remuant à peine les deux sèvres, il lui chanta une aude qui eut l’eure de lui plaire. « Il n’est jamais trop tarn pour bien faire ! ». Mais un jour, sa Yonne lui orne donna : « finis c’t’air, ou je vais déquimper ». Depuis, disait-il, gers, à gard, comme un malheureux, quelle que soit l’eure. Bien qu’habitué à des bouches du côte du Rhône, il ne choisit ni le vain ni le calvados mais l’Hérault (ou l’Héros, ou l’Eros, d’après Yvelines).

Et puy de drome en Scylla, il perdit le nord, devint loozère et chercha des oise à tout le monde même quand il n’y avait pas de calais. Malgré son corrèze, il sombra dans une profonde isère physique sans jamais se précipiter vers la morbihan tête, jamais. « Chacun son lot et advienne que pourra ! ». Dans un vieux film où il en a déjà marne, on le voit avec les manches retroussées qui creuse sa tombe. Il eut une belle meurthe, dès l’aube, à l’heure où blanchissent les Landes.

Lorenzo

4 réflexions sur « RENDEZ-VOUS À CINQ HEURES (16) »

  1. Au fait qu’est-ce qu’on lui dit à la Meurthe-et-Moselle ?

  2. Tout est dans l’à peu près : bravo à l’auteur !
    Sur les réseaux sociaux, un texte du même genre, moins bien tourné et très coquin, circulait ces derniers temps.
    Bien que n’en étant pas l’auteur, et considérant qu’aucun moins de quinze ans ne lit ce blog, je vous le livre tel quel.

    « Comment caresser une femme en vingt et un départements ?
    Il faut d’abord s’en faire une Allier, s’assurer qu’elle est Seine et bien en Cher et que Savoie vous séduit. Lorsqu’on sent son Eure venue, on commence par lui caresser le Haut-Rhin puis on descend vers le Bas-Rhin. On contourne alors l’Aisne pour entrer dans la Creuse. Là, ça se Corse, on trouve quelque chose de bien Doubs. Sans perdre le Nord, et pour gagner ce Paris, on attend que ça Vienne et si on ne se débrouille pas comme un Manche, on peut entrer en Gard et y rester jusqu’à l’Aube. En Somme, il ne s’agit Pas-de-Calais ni de s’endormir comme un Loire si l’on veut devenir un Hérault de l’amour ».

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