Dernière heure : Top ten

Dernière heure : Top ten
Lundi 31 décembre

Après le magistral Lorem ipsum de ce matin, et puisque je n’ai pas grand chose d’autre à vous dire de plus aujourd’hui, vous prendrez bien un peu de statistiques ? Oui ?
Bon !
Voici le tableau des 10 articles les plus lus (ou vus) sur le Journal des Coutheillas depuis sa création, c’est-à-dire depuis le 26 novembre 2013.

Pour information :

1-La photo « Les belles boutiques n°26 » est celle de la Brasserie Saint Louis
2-Le texte « Walter Mitty, c’est moi » est surtout de James Thurber
3-La citation « la vie est un théâtre… » est bien sûr de William Shakespeare avec un peu d’Érasme aussi
4-Le Chaudron de Freud ce n’est pas de moi non plus, mais c’est néanmoins intéressant
5-« Ouvert, aperto » est la photo d’une installation répandue dans beaucoup de musées du monde
6-La veste de Winston, un de ses innombrables aphorismes
7-L’édifice immense du souvenir, une citation du petit Marcel
8-Les chinois, c’est des cons, ce n’est pas moi qui le dis, mais c’est de moi
9-« Logocratie et autres âneries… », de moi, mais du temps où Trump, Hidalgo et les Gilets Jaunes ne m’obsédaient pas encore
10-« Au théâtre ce soir », même chose
 
Ce top ten me pose quelques questions :

1-Qu’est-ce qui a bien pu attirer le lecteur vers la photo d’une brasserie ordinaire ?
2-Walter Mitty n’est pas de moi, mais la préface et la traduction, oui. Est-ce cela qui a attiré le lecteur ?
3-Pourquoi écrire quand on peut citer Shakespeare ?
4- Pourquoi écrire quand on peut citer Freud ?
5-Installation spectaculaire, mais clinquante et aujourd’hui banale
6- Pourquoi écrire quand on peut citer Churchill ?
7-Ah ! le petit Marcel ! Pourquoi écrire quand on peut citer Proust ?
8-Est-ce le titre qui a attiré à la fois le lecteur et la censure de Facebook ?
9-Doit-on regretter l’heureux temps où les sujets de mécontentement étaient le vocabulaire et les tics de langage ?
10-Y retournerai-je un jour ?

Une réflexion sur « Dernière heure : Top ten »

  1. Réponse à la question # 1: la soif bien sûre! (Oui mais, la soif de quoi?). Une question en appelle toujours une autre. Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi? La réponse naturelle est: pourquoi pas! et le débat est clos.
    Réplique célèbre d’un western si mes souvenirs sont exacts: “why did you kill him?”. Rèponse: “why not?”.

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