Dernière heure : Parlons d’autre chose

Dernière heure : Parlons d’autre chose 
Mercredi 19 décembre

Pour vous laisser souffler un peu avec les Gilets Jaunes, aujourd’hui je vous ai traduit un court article de CNN. Il traite de la confiance que l’on peut accorder à Facebook. Vous en trouverez le texte original un peu plus bas. Si vous voulez lire les articles source, cliquez que les mots en rouge dans le texte original.

« Il semble que Facebook ait communiqué les données d’un plus grand nombre d’utilisateurs à un plus grand nombre de sociétés que ce qu’elle avait admis jusqu’à présent. Selon des documents vérifiés par le New York Times, le media social aurait partagé les données des utilisateurs avec 150 sociétés afin de tenter d’obtenir davantage d’utilisateurs en déjouant ses propres règles de confidentialité. Il s’agit ici d’énormes sociétés : Amazon a obtenu des noms et des informations de contact par les réseaux d’amis, et Netflix et Spotify ont eu la possibilité de lire les messages privés des utilisateurs de Facebook. Bien que ces possibilités ne soient plus actives aujourd’hui, c’est encore un nouveau sujet de polémique contre Facebook, qui est maintenant l’objet d’une sérieuse surveillance pour la manière dont elle gère la confidentialité et les données des utilisateurs. »

Malgré sa petite gueule d’ange repenti, c’est quand même un sacré récidiviste de l’entourloupe, ce Mark Zuckerberg. Vous lui faites toujours confiance, vous ? Vous lui faites toujours part de vos vacances, des progrès de vos enfants, de ce que vous avez mangé hier, et autres intimités ? Oui ? Ben, mon vieux !

Version originale
It looks like Facebook has shared more user data with more companies than it previously admitted. According to documents reviewed by The New York Times, the social media giant arranged to share user data with 150 companies in an attempt to get more users while thwarting the platform’s own privacy rules. These are huge companies we’re talking about here: Amazon got users’ names and contact information through friend networks, and Netflix and Spotify had the ability to read Facebook users’ private messages. While a lot of these arrangements aren’t active anymore, it’s yet another controversial mark against Facebook, which has come under serious scrutiny for the way it handles users’ privacy and data.

 

ET DEMAIN, UN TABLEAU

4 réflexions sur « Dernière heure : Parlons d’autre chose »

  1. Hé ben moi, je n’ai ni fessebouc ni téléphone portable. Si quelqu’un veut me parler, il vient me voir et on ouvre une bouteille. En plus, j’ai rien à cacher, j’assume tout.
    Au fait, un téléphone portable, ça peut aussi s’écouter, non ? Tout doit pouvoir se lire et s’écouter. Mon dernier téléphone mobile, avant l’apparition des portables, je l’avais dans ma voiture. 8000 francs (francs)par mois de communications, rien que pour ma voiture. A ce prix là, j’espère que c’était crypté !

  2. J’aurais dû! Il faut que j’y pense la prochaine fois. Merci du rappel.

  3. Puis-je conseiller aux auteurs de commentaires un peu développés de les composer d’abord sur Word ou Notes et, quand ils sont terminés, peut-être même relus et, pourquoi pas, modifiés, de les copier-coller dans la petite case prévue à cet effet. Ça évite bien des surprises.

  4. Fichtre! Je viens de me fendre d’un long commentaire à propos des données dont tout citoyen voulant protéger sa liberté et contrôler son destin devrait exiger l’éradication. Mais, mon commentaire a disparu subrepticement. Je ne le réécrirais pas et ne reprendrais ici que ma dernière phrase: il faut commencer par éradiquer Facebook, ce serait le meilleur service à rendre au genre humain.

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