Pour offrir les meilleures expériences, nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations des appareils. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir un effet négatif sur certaines caractéristiques et fonctions.
Le stockage ou l’accès technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’utilisateur.
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Le stockage ou l’accès technique est nécessaire pour créer des profils d’utilisateurs afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
« Homme libre, toujours tu chériras la mer!
La mer est ton miroir; tu contemples ton âme
Dans le déroulement infini de sa lame »,
L’homme et la mer, de Charles Baudelaire.
La mer inspire. Les poètes qui ont composés sur la mer sont nombreux, certains célèbres et célébrés, d’autres un peu moins connus comme Emile Verhaeren ou Francois Coppée dont je cite ici cet extrait pour sa musicalité qui me fait entendre le ressac qu’il décrit assis sur des galets devant la mer:
« Sous un ciel clair, les flots d’un azur violet,
Après s’être gonflés en accourant du large,
Comme un homme accablé d’un fardeau s’en décharge,
Se brisaient devant moi, rythmés et successifs.
J’observais ces paquets de mer lourds et massifs
Qui marquaient d’un hourra leurs chutes régulières
Et puis se retiraient en râlant sur les pierres ».
Rythme des vagues, de François Coppée
Enfin, certains poèmes et poètes méritent d’être découverts:
« Avance des marées vers les côtes sauvages,
Roches de pierre grise et algues aux tons bruns,
Ressac d’écume blanche sur bateaux au mouillage,
Appellent au départ, à un nouveau voyage,
Dans le coeur des hommes, battu par les embruns,
Où le large hypnotique laisse un léger tangage…
Nuée de sternes blancs pleure un chant de marins ».
Appel au large, de Rebecca B.
La mer devant soit, sur une plage ensablée ou sur une côte sauvage, sera toujours chérie et un appel au large.
Laissez-moi deviner ! C’est la poitrine de Sophie Marceau, à l’heure où passent les cigognes !