2 réflexions sur « Cap Ferret »

  1. « Homme libre, toujours tu chériras la mer!
    La mer est ton miroir; tu contemples ton âme
    Dans le déroulement infini de sa lame »,
    L’homme et la mer, de Charles Baudelaire.

    La mer inspire. Les poètes qui ont composés sur la mer sont nombreux, certains célèbres et célébrés, d’autres un peu moins connus comme Emile Verhaeren ou Francois Coppée dont je cite ici cet extrait pour sa musicalité qui me fait entendre le ressac qu’il décrit assis sur des galets devant la mer:
    « Sous un ciel clair, les flots d’un azur violet,
    Après s’être gonflés en accourant du large,
    Comme un homme accablé d’un fardeau s’en décharge,
    Se brisaient devant moi, rythmés et successifs.
    J’observais ces paquets de mer lourds et massifs
    Qui marquaient d’un hourra leurs chutes régulières
    Et puis se retiraient en râlant sur les pierres ».
    Rythme des vagues, de François Coppée

    Enfin, certains poèmes et poètes méritent d’être découverts:
    « Avance des marées vers les côtes sauvages,
    Roches de pierre grise et algues aux tons bruns,
    Ressac d’écume blanche sur bateaux au mouillage,
    Appellent au départ, à un nouveau voyage,
    Dans le coeur des hommes, battu par les embruns,
    Où le large hypnotique laisse un léger tangage…
    Nuée de sternes blancs pleure un chant de marins ».
    Appel au large, de Rebecca B.

    La mer devant soit, sur une plage ensablée ou sur une côte sauvage, sera toujours chérie et un appel au large.

  2. Laissez-moi deviner ! C’est la poitrine de Sophie Marceau, à l’heure où passent les cigognes !

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