NOUVELLES DU FRONT (2)- 21/09/18

LA BÊTISE AU FRONT DE TAUREAU

Nous avons, pour plaire à la brute,
Digne vassale des Démons,
Insulté ce que nous aimons
Et flatté ce qui nous rebute ;
Contristé, servile bourreau,
Le faible qu’à tort on méprise ;
Salué l’énorme bêtise,
La Bêtise au front de taureau

 21/09/2018
NOUVELLES DU FRONT

Marchez, piétons !

Pour faire marcher les Parisiens, nous avons notre petit bonhomme vert :

A Berlin, c’est le célèbre Ampelmännchen :

Hé bien, maintenant, afin de ne heurter la sensibilité de personne, dans certains quartiers, Vienne, Londres, Madrid et Manchester viennent d’installer des feux semblables à ceux-ci :

ET DEMAIN, UN MÉTIER QUI SE PERD

 

 

5 réflexions sur « NOUVELLES DU FRONT (2)- 21/09/18 »

  1. La chasse au Rinaldi est ouverte. J’ai essayé de retrouver les miens pour vous les partager, mais ils doivent dormir dans un grenier. Je n’ai que les « Roses de Pline » sous la main. Mais je viens de voir que des titres de Rinaldi sont proposés sur des sites de vente par correspondance, dont un à 1,80 euros. Même en ruine, ça vaut le coup.

  2. Ah! Evidemment, trouver Rinaldi en Auvergne c’est pas évident. Essaies toujours le joli bourg de Vigeois en Corrèze, entre Brive-la-Gaillarde et Limoges. C’est sur ta route de retour. J’ai cité les librairies parisiennes susnommées, pensant que tu étais de retour à la capitale, car hier j’ai recherché un livre de Romain Gary (Les Cerfs-volants) dans l’édition folio (imposée impérativement par un prof de la Sorbonne à ses étudiants, dont ma petite-fille), difficile à trouver mais j’y suis arrivé.

  3. Quand je pense que je suis allé jusqu’à Aurillac ! Demain, j’essaierai Tulle, Limoges, Chateauroux et Massy-Palaiseau. J’y arriverai.

  4. Vu que l’académicien Rinaldi était édité par Gallimard, je conseille de chercher:
    Librairie Gallimard 15 Bd Raspail
    Librairie Armand Colin 229 Bd St Germain
    L’Ecume des pages 174 Bd St Germain
    Et si l’on veut s’éloigner du quartier germanopratin, Le Divan rue de la Convention (15ème prolo).

  5. Quand les choses ordinaires commencent à atteindre ce degré de sophistication, c’est que le réchauffement climatique aggrave ses effets : il fait bouillir les cervelles. Qui n’avaient déjà pas besoin de ce type de surchauffe.

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