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Très joli poème, Rebe, sur cette Seine qui coule sous les ponts de Paris un peu plus vite que d’habitude.
‘Vienne la nuit, sonne l’heure,
Les jours s’en vont, je demeure’.
Et glou et glou; montée des eaux,
Sur la Seine et dans les canaux,
Jusqu’à la glotte du zouave,
de rue en rue, de cave en cave,
En aval comme en amont,
Et jusqu’aux parapet des ponts…
Comme d’Attila la horde,
La Seine , tandis qu’elle déborde,
Dévaste, abîme et envahit
la capitale et le pays.
A quand la décrue et la boue?
Moins d’eau et plus de gadoue?
Revoir la rue et le pavé
Dans un Paris délavé…
Il est plus que temps qu’ Anne interdise les voies sur Berges aux péniches !
Après, il restera les vélos.
A conserver, j’espère, car pédaler le long des berges de la Seine, en voie dédiée, ce doit être sympa, sauf quand il faut remonter sur les quais, mais alors on branche la batterie.
Fake News! Chasse aux sorcières orchestrée par une presse au service d’un zouave!